Sine Saloum

mardi, juin 23, 2015 Unknown 0 Comments



Le Sine Saloum est la région des Sérères, constitué Des Sine sine, Safen, Palor, Ndout et Miominka. Des anmistes qui ont quitté le nord du Sénégal au 11émesiècle pour fuir le jihad des Almoravides, des guerriers qui ont porté l’Islam du Sahara.
Considéré comme l’un des plus beaux sites Du Sénégal, il est un véritable dédale, composé de quelques  200 îles et de bolongs, paradis des Tanns (étendu de sable) et de mangrove.
Avec autant d’atouts, le Sine Saloum fait le bonheur des pécheurs et des ornithologues. Le delta à été classé en 1981 « Reserve Mondiale de la Biosphère ».
On y retrouve une faune très variée, Cobes, Hyènes, singe, Lamantin, Dauphins… ainsi que de nombreuses espèces d’oiseaux, Pélicans, Hérons, Aigrettes et des poissons, barracudas, Mérous, Carpes et Crustacés…
Dans le Sud il est possible de pratiquer la chasse. Les zones de Toubakouta, Sokone, les plus arborées de la région se prêtent surtout à la chasse du gibier à plume. On rencontre pigeons vert, pigeons rôniers, francolins.
Toute proche, la ville de Kaolack est la capitale africaine de l’arachide. Il se distingue aussi par sa production d’anacardiers et pour les salins de Diorane.

Avec un environnement naturel riche et varié, l’attrait touristique de la destination Sine-Saloumn’est plus à démontrer. Son soleil à longueur de journée, les réserves naturelles du Saloum et de Palmarin, les iles du Gandoul, les villages de pêcheurs, les différentes facettes culturelles sérères et mandingues, toutes les conditions sont remplies pour un veritables tourisme de


SITES ET ATTRAITS TOURISTIQUES

Avec un environnement naturel riche et varié, l’attrait touristique de la destination Sine-Saloum n’est plus à démontrer. Son soleil à longueur de journée, les réserves naturelles du Saloum et de Palmarin, les iles du Gandoul, les villages de pécheurs, les différentes facettes culturelles sérères et mandingues, toutes les conditions sont remplies pour un véritable tourisme.
On peut retenir comme appellation le Saloum nord et le Saloum sud.
L’accessibilité de la zone set facilité par :
·       Le Bac de Foundiougne
·       Les îles de Niodior et Dionewar
·       par voie routière

SITES ET ATTRAITS TOURISTIQUES

La magie des îles du Saloum
Toubacouta, Foundiougne, Palmarin, Niominka, Dionewar, Niodor, Djiffer, Ndangane… Chaque île du Saloum est une invitation à la découverte, à la douceur et à la contemplation. Sur leurs échasses, les palétuviers qui les bordent leur donnent un cachet à la fois mystérieux et sauvage, et abritent de nombreuses espèces de mamifères (Hyènes et Chacals, Singes et Phacochères, Dauphins et Lamantins), et de reptiles (Tortues, varans et crocodiles).


La ville de Ndangane
Situé au nord du delta, sur un bras du fleuve Saloum, il donne accès l’île de Mar Lodj où des campements présentant   une architecture de style local accueillent les visiteurs et proposent un tourisme intégré au cœur d’une île aux traditions bien préservées.
Palmerin
Autrefois escale des navigateurs portugais et ses marais salants sont situés sur la pointe de Sangomar à coté du village de Djiffer (port de pêche, excursion en pirogue dans les îles).
A pirogue, les iles de Niodior et de Dionewar sont accessibles après quelques coups de rame.
Foundiougne
Ville où peut s’apprécier  un très beau couché du soleil. Il est le capital de la crevette rose. La navette est assurée par un bac au sud de Fatick.
Les villages de Sokone Toubacouta et missirah
Situés plus au sud au bord des Bolongs, ils s’alignent à côté de la forêt de Fatalah et du parc national du delta du Saloum.
Le Parc National du Delta du Saloum
Dans cette étonnante oasis naturelle, classée réserve mondiale de la biosphère par l’Unesco et admise au club des « plus belles baies du monde », les pirogues traditionnelles qui sillonnent le dédale de bolongs (étroits bras d’eau serpentant dans la mangrove) mènent à la découverte de milliers d’îles et d’îlots qui servent de refuge à près de 150 espèces d’oiseaux rares et en voie de disparition, dont la plus grande colonie nidificatrice de sternes royales au monde.

Mar Lodj, l’île bénie
 Un havre de paix, de sérénité qui vous plonge dans un dépaysement total. Balade en pirogue dans les mangroves, pêche à la ligne sur le ponton en plein coucher de soleil, farniente sur les magnifiques plagesdégustation de plats traditionnels à base de la pêche du jour (crevettes, huîtres, carpes), promenade en calèche au clair de lune, murmure des oiseaux multicolores au petit matin. Et dans ce décor naturel somptueux, trône un étrange entrelacement naturel de trois arbres (rônier, fromager et caïlcedrat), qui symbolise la cohésion entre catholiques, musulmans et animistes, et donc toute l‘ouverture de cette population sérère, dont la gentillesse et l’humour sont attachants.

La Pêche dans la mangrove avec près de 115 espèces, le delta du Saloum est l’une des zones les plus poissonneuses au monde. Une destination prisée par les pêcheurs de loisir qui y sont invités à découvrir différentes techniques de pêche: la traîne aux leurres, la pêche aux vifs, ou encore la pêche au posé pour des espèces de poissons aussi variées que l’espadon, le thon, la carangue à grosse tête, la carpe rouge ou même le barracuda.
Promenades en pirogue permettent la découverte du Delta du Saloum, de ses bolongs et de nombreuses îles. Ces excursions permettent d'aller à la rencontre des pêcheurs Niominkas ou Sérères et de partager la vie de leurs villages pendant une journée.

L'île aux coquillages, l'île aux Oiseaux et les reposoirs aux Oiseaux sont également à découvrir à bord de la pirogue.

Kaolack et les sites Magalithiques
Kaolack, chef lieu de la région du Saloum et capitale de l’arachide et du sel, est un carrefour regroupant toutes les populations du Sénégal : son marché est l’un des plus grands du pays. A quelques encablures  de là, vous pouvez visiter les sites mégalithiques ou « menhirs bretons et notamment celui de Nioro du Rip, un lieu historique pour le Sénégal et le peuple Sérère grâce aux très fameux alignements de mégalithes (monuments funéraires) qui n’ont d’égal en Afrique que ceux de la

République Centrafricaine.

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